Contraste saisissant de ce défilé du #14juillet : nos armées célébrant avec panache, rigueur et majesté la gloire de la France et de ses armes, devant la tribune réunissant ceux qui en sont les fossoyeurs les plus acharnés... Bonne #FêteNationale quand même !

Vous avez aimé la loi Avia ? Vous allez adorer le #DigitalServicesAct imposé depuis hier aux plateformes et aux réseaux sociaux par la Commission Européenne et Thierry Breton : il s'agit tout simplement de la plus vaste opération de restriction de la liberté d'expression et d'opinion menée sur notre continent depuis des décennies.

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https://twitter.com/vincent_vauclin/status/1695400224926097562?t

Puisqu'on reparle du port du masque...

Le masque est devenu le premier uniforme planétaire. Sa fonction n'est pas sanitaire mais politique. Symbole de domestication et d'adhésion au narratif covidiste, il substitue à la pluralité des visages et de leurs expressions l'uniformité maussade de la peur et de la soumission.

Le masque fait exister une menace permanente, insaisissable et omniprésente, dont chacun est le vecteur potentiel. Tout rapport social est désormais subordonné à l'application préalable d'un protocole dédié, régulièrement mis à jour, et dont le port du masque est l'invariable constante.

L'objectif ? Que le corps social cesse d'exister autrement que comme un cheptel d'individus isolés et craintifs, dépouillés de leurs droits et de leurs capacités à initier des interactions spontanées et donc des coopérations sociales qui échapperaient au contrôle de Big Brother.

Macron massivement hué par tout un stade et humilié devant le monde entier. Une détestation générale que les médias ne parviennent même plus à dissimuler. Le crépuscule d'un régime qu'il emportera dans sa chute.
#Destitution #FRAvNZL #WorldCup2023

Le désastre diplomatique de Macron en Afrique.

Le dilemme n'a pas changé. Il s'est imposé jadis à César comme il s'imposera plus tard à Bonaparte ou De Gaulle. C'est le même qui s'impose aujourd'hui à Meloni, autant qu'à chacune des figures d'opposition susceptibles d'accéder aux responsabilités.

Franchir ou non le Rubicon. Défier l'esprit du temps et assumer la rupture avec l'ordre établi, ou se contenter de composer avec les contraintes nécessairement innombrables et contradictoires inhérentes à l'exercice du pouvoir, pour finalement ne rien faire du tout.

Il n'est plus seulement question ici d'idéologie ou de programme, mais bien du caractère qui distingue l'homme d'État du simple figurant lorsque survient le moment critique où sa volonté est éprouvée et où il n'est plus possible de se dérober derrière le voile des ambiguïtés sémantiques et des promesses électorales. Le choix se réduit alors à deux options : la souveraineté ou la sujétion.

💡 [IDÉES] Retrouvez les derniers dossiers argumentaires du MND !

📂 Instaurer le port d'arme citoyen
➡️ https://www.natdem.fr/post/dossier-le-port-d-arme-citoyen

📂 Notre projet de révision constitutionnelle
➡️ https://www.natdem.fr/post/democratie-nationale-le-projet-de-revision-constitutionnelle-du-mnd

📂 CTRL+Z : comment organiser la remigration
➡️ https://www.natdem.fr/post/dossier-ctrl-z-pourquoi-et-comment-organiser-la-remigration

Macron se rend à Arras. Il va aligner des mots devant les caméras, puis il va repartir. Rien n’aura changé. D’autres iront ensuite aligner d’autres mots devant d’autres caméras. Et rien n’aura changé non plus. Chacun, affairé à son petit calcul, déroulant sa petite stratégie, choisira promptement ses éléments de langage et interprétera le rôle qui lui a été assigné. Condamner et compatir pour les uns, exhorter et désigner pour les autres. Dans tous les cas, communiquer. Obtenir que sa petite phrase fasse mouche. Que sa formule figure dans le bandeau de BFM, ne serait-ce que deux minutes. C’est la seule chose qui importe.

Tous se plieront cependant aux figures imposées du discours politique contemporain, ce qu’ils appellent « l’arc républicain ». Il faudra encore se contorsionner, pour parler du Grand Remplacement sans jamais utiliser l’expression proscrite. Pour évoquer une possible ébauche d’un début de remigration, mais alors en prenant soin de vider le concept de sa substance et n’en garder que le slogan, pour les téméraires qui s’hasarderont malgré tout à l’utiliser. Pour dénoncer des responsables, mais sans jamais remonter trop loin, au risque d’égratigner ce régime lobbycratique qui fait et défait opposants et courtisans, les uns n’aspirant qu’à remplacer les autres. Quant à la question du désarmement physique et moral du peuple français, c’est-à-dire de la légitime défense et de l’éventualité d’instaurer le port d’arme citoyen, silence radio. La tendance est au contrôle social et à la domestication intrusive au nom de la sécurité collective, certainement pas à la résilience individuelle et aux libertés.

Un innocent est mort, et tous l’ont tué.

Il y a plus d’un siècle, le 11 novembre 1918, prenait fin l’une des plus épouvantables boucheries de l’histoire européenne qui vit périr plus d’un million de Français et qui mutila, dans leurs corps et dans leurs âmes, des millions d’autres. Toute une génération sacrifiée.

Écoutons l’un des survivants, Louis-Ferdinand Céline, qui, en tant que maréchal des logis du 12ème régiment de cuirassiers, fut l’un des premiers blessés et décorés de la Grande Guerre et en ressortit marqué à vie par l’horreur et la vanité de ce conflit.

Ses écrits ultérieurs raconteront ce cauchemar en dénonçant la mécanique infernale qui, vingt ans plus tard, allait à nouveau embraser le Vieux Continent et jeter les uns contre les autres des peuples frères. Pamphlétaire ? Provocateur ? Violent ? Certes. Mais toujours d’une actualité brûlante.

Et à l’heure où les fauteurs de guerre et les fanatiques de tous bords vilipendent les pacifistes, interdisent tout débat et cherchent encore à nous embarquer dans des guerres qui ne sont pas les nôtres, le plus bel hommage à rendre aux héros de la Grande Guerre, c’est d’écouter ce que ses plus illustres survivants ont voulu nous transmettre.

#11Novembre

Joyeux Noël !